Insula Oya
Ses yeux de sable
Trempent aux Conches
Mollement gais,
Tandis qu’à Ker Daniau
Ils larment de joie
Les bonnes feuilles lues
Sèchent au vent des Vieilles,
Les paroles de sel s’échangent
Au fortin, sous l’aile
De la mouette rieuse.
Le véhicule est à pédale,
Que le sable enlise.
Quatre ailes ont voyagé
Depuis la terre lointaine,
Le bleu domine sous les cyprès.
Dieu qu'il fait bon à Yeu.